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<i>M. Delôme</i><br>Essai sur la vénerie du chevreuil.<br>Ma passion

M. Delôme
Essai sur la vénerie du chevreuil.
Ma passion

Markhor
En stock
2013.
Livre neuf.
Markhor, 128 pages.
22,00 €
600g
Description
Après plus de quarante ans d'expérience au rallye Les Amognes, au rallye de la forêt des Loges puis à la tête de l'équipage de la Pérelle qu'il crée en 2004, Marc Delôme (né en 1951 dans l'Allier, non loin de la forêt de Tronçais) nous livre ses conseils sur cette vénerie exigeante mais passionnante.
Avec de nombreux souvenirs et anecdotes.
Illustré de plus de 80 photos de Jérôme Frachon et de dessins d'Arnaud Fréminet, Marie-Jenny Lemaire, Catherine Noël et Bruno de la Pintière.

Paris, Markhor, 2013. In-8, 14 x 22,5 cm, broché, 128 pages.


EXTRAIT

« Un siècle et plus nous sépare déjà des grands veneurs de chevreuil de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle tels que MM. d'Armaillé, Chabot et Levesque et un peu moins pour MM. Clayeux, Beauchamp et Guyot. La vénerie du chevreuil est toujours là, bien présente, mais, hélas, ne peut plus se pratiquer comme la leur. Les rapprochers sont inexistants à cause de la densité d'animaux, le réchauffement climatique modifie souvent la qualité de la voie, les populations de chevreuils ne sont pas régulées, les petits chemins de campagne sont bouchés, les haies vives sont remplacées par des grillages à moutons, les successions entraînent le morcellement des grandes pro­ priétés privées. Mais, heureusement, notre monde moderne ne nous apporte pas que des désagréments et les veneurs ont su s'y adapter dans le respect des traditions.
« Grâce au progrès, nos chiens sont mieux nourris, plus rapides, en meilleure santé qu'autrefois et nous permettent de chasser diffé­ remment des animaux souvent plus solides car sans cesse dérangés (chasseurs à tir, promeneurs, ramasseurs de champignons, etc.) » Voici donc « le fruit empirique des quarante années passées à pratiquer cet art, dont sept en qualité de maître d'équipage, au cours desquelles j'ai eu la chance de sonner plus de sept cents hallalis. »