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<i>J. Poth</i><br>Kota Gombé.<br>Marc Péchenart,<br>coureur de brousse<br>et homme de chasse
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J. Poth
Kota Gombé.
Marc Péchenart,
coureur de brousse
et homme de chasse

En stock
2022.
Livre neuf.
Montbel, 208 pages.
38,00 €
1000g
Description
Souvenirs inédits d'un des plus grands chasseurs français de l'après-guerre, spécialiste de l'éléphant en Afrique de l'Est puis en Centrafrique. Rédigé par Joseph Poth, l'auteur d'Odeurs de brousse et de Pisteurs noirs, chasseur blanc
Illustrés de nombreuses photos en couleurs.
Livre neuf.

Paris, Montbel, 2022. in-8, 17 x 24 cm, broché, 208 pages.


Extrait:

« À l’issue d’un long et fatigant périple, Kota Gombé revient, bredouille, au campement près du village. Il est environ 16 h 30. À la hauteur d’un petit pont qui enjambe la rivière bourrée de bilharzies, il voit deux zouaves qui ressemblent comme deux gouttes d’eau à ses frères, en train de se baigner allègrement dans l’eau fraîche et limpide. Ils arborent un petit sourire goguenard qui intrigue le chasseur.
« Il y a sûrement anguille sous roche… Kota Gombé leur pose le plus naturellement du monde la question rituelle.
« — Avez-vous vu quelque chose ?
« À l’unisson, ils répondent :
« — Oui.
« Le contraire aurait été étonnant, vu leur air complice.
« — Et vous avez tiré ?
« — Oui !
« Décidément, ils ne sont pas très bavards… Soudain, les digues cèdent, c’est un flot de paroles et d’explications : Ils ont tiré un éléphant dont chaque pointe dépasse 50 kg ! C’est fantastique, Kota Gombé n’en croit pas ses oreilles !
« Le vieux mâle dont ils avaient suivi la piste était doté de pointes superbes que n’importe quel chasseur chevronné aurait été fier de mettre à son actif. Claude avait cédé à son frère le droit de tirer. Il est vrai qu’entre frères, on peut se faire ce genre de cadeau…
« Xavier avait tué l’éléphant d’une seule balle de 458, logée de front, en plein cerveau. Un tir de professionnel. Lors de la pesée, les pointes affichaient 56 kg et 55 kg ce qui est tout bonnement prodigieux. Les chasseurs auraient donc pu continuer à prospecter ce secteur prometteur, mais le goût de l’aventure les poussait plus loin, toujours plus loin et ils décidèrent de s’enfoncer encore plus profondément au cœur des grands espaces, vers le nord. »