« Dans La vénerie à fleur de peau, Philippe Verro nous entraîne dans une singulière poésie. Une poésie sauvage, éclairée aux torches de nos origines, et cependant la plus civilisée, la plus consciente des poésies : celle de l'homme en état de contemplation.« C'est que Philippe Verro appartient à la race des hommes capables d'entretenir avec la nature un dialogue secret et profond : il est un veneur intégral. [Il] nous montre, comme personne avant lui, comment la chasse est un résumé de notre destinée. Il parle de ses chiens avec une tendresse inédite. Il aime les arbres. Il aime les gens. Il aime les femmes. Il sait nous rappeler que le vent du paradis souffle entre les oreilles d'un cheval au galop. »
◼︎ Paris, Montbel, 2009. In-8, 13,5 x 20 cm, broché, 96 pages.
Utilisation des cookies